Halte au massacre du peuple palestinien : arrêt du génocide !

Stages de formation syndicale

Les journées de formation syndicale sont un droit ! Tous les salariés ont le droit à 12 jours / an et c’est compté comme du temps travaillé, donc payé ! Ce serait dommage de s’en priver !

Ce stage expose l’importance d’une nouvelle donne : nous vivons dans un monde où la place du numérique prévaut et où toutes nos démarches et recherches passeront bientôt par l’usage exclusif d’objets connectés. Cette formation démontrera la perte de liberté généralisée, nos faits et gestes est enregistrée, stockée, corrélée et analysée ; que ce soit dans le cadre privé, professionnel ou syndical.

Pour contrer cette domination, il s’agit de bien connaître les enjeux et les connaissances techniques permettant de s’en protéger. Il faut agir politiquement mais aussi techniquement en utilisant des moyens pour rendre sûrs nos échanges pour résister et faire vivre la diffusion des idées et des actions.

Pour les personnels enseignants, d’éducation et psychologues de l’Éducation nationale, ce stage a pour objectif de comprendre le mouvement intra : intra-départemental dans le 1er degré et intra-académique dans le 2d degré (les principes généraux sont similaires, mais les petites différences seront aussi présentées). Remarque : tous les personnels qui obtiendront une mutation à l’inter début mars, ainsi que les stagiaires doivent participer au mouvement intra (pour avoir une affectation en tant que titulaire).

L’éducation nationale broie ses personnels, les conditions de travail se dégradent, entraînant parfois par là-même une dégradation des enseignements. Les facteurs sont multiples : explosion des tâches administratives, injonctions diverses et souvent contradictoires, hiérarchies oppressives, new management, multiplication à l’infini des besoins particuliers des élèves, pression de Parcoursup, sentiment d’être méprisé plutôt qu’accompagné par la hiérarchie, perte du collectif qui donne le sentiment de se retrouver seul. Faire un burn-out est devenu presque une banalité … Nous proposons un stage pour apprendre à s’emparer des outils pour se défendre, faire valoir ses droits, lutter ensemble afin d’améliorer collectivement nos conditions de travail.

L’Éducation Nationale broie ses personnels, tout particulièrement les femmes. Ce sont d’ailleurs elles qui forment la majorité des précaires. Une réflexion est à mener sur les fonctionnements de ces inégalités. Ceci afin d’essayer de dégager des possibilités d’action individuelles et collectives au niveau syndical. Il s’agit pour cela de connaître les droits, les possibilités d’action, et les différentes formes de recours. Mais cela nécessite également de réfléchir sur les articulations entre antisexisme et syndicalisme pour essayer de savoir à quels moment les questions de sexisme deviennent un objet syndical, si il faut les traiter différemment des autres oppressions, pour les lier avec la lutte des classes, notamment à travers la question de l’aliénation et de l’exploitation économique. Le but est de penser des outils de lutte et de réappropriation, au-delà des prêt-à-penser.

Pour les personnels enseignants, d’éducation et psychologues de l’Éducation nationale, ce stage a pour objectif de comprendre le mouvement inter : inter-départemental dans le 1er degré et inter-académique dans le 2d degré (les principes généraux sont similaires, mais les petites différences seront aussi présentées). Remarque : les stagiaires du 2d degré doivent participer au mouvement inter (pour avoir une affectation en tant que titulaire).

L’Éducation nationale broie ses personnels, multiplie les types de contrats, tout en étant de plus en plus privatisée ! Seule une réflexion et une action collectives nous permettront d’organiser nos luttes, de défendre nos droits syndicaux, et de militer quotidiennement au sein de cette institution.

Ce stage a pour but de d’accueillir toutes les personnes qui souhaiteraient être (in)formé.e.s. afin de mieux (ré)agir individuellement et collectivement. : rompre avec l’isolement, le morcellement des tâches et l’arbitraire de l’administration…

Syndiqué.e ou non, précaire ou titulaire, de l’académie ou d’ailleurs : inscrivez-vous !

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