Halte au massacre du peuple palestinien : arrêt du génocide !

Éducation

« Car la guerre c’est un massacre / De gens qui ne se connaissent pas / Au profit de gens qui toujours se connaissent / Mais qui ne se massacrent pas. » Paul Valéry.

On nous parle réarmement, il faudrait préparer la France pour faire face à d’éventuelles attaques et donc se préparer. Mais dans cette course infinie à qui a la plus grosse (bombe par exemple), on ne se pose pas tant les questions essentielles : pour qui, pour quoi ? Pour défendre la « nation » ou engraisser des industriels qu’on ne verra jamais aller se battre ? [1] Pour défendre un territoire ou maintenir notre emprise coloniale et impérialiste sur d’autres terres dont dépendent nos accès aux ressources … pour faire plus d’armes ? Où conduit cette courses infinie à toujours plus d’armes toujours plus puissantes et destructrices ?

Écouter l’émission « Solidaires d’abord » sur Fréquence 7.

Lutte de Classes éducation relaie un texte contre le SNU publié dans le média drômois Ricochets.

Après avoir hésité à nommer Nadine de Rothschild rue de Grenelle, Barnier a voulu maintenir le cap des précédentes mandatures en plaçant Anne Genetet à la tête du ministère de l’Éducation nationale. Cette continuité dans l’incongruité doit-elle nous surprendre ? Après tout Bachelot et Dati à la Culture ou Oudéa-Castéra et N’Diaye à l’Éducation nationale sont des castings tout aussi surréalistes.

Notre syndicat relaie ce texte du Collectif de Beauchastel contre l’école numérique (Contact : Appel de Beauchastel, 27 ter, rue des Terras, 07800 Beauchastel)

Grève du 10 septembre : et après ?

A l’opposé d’une grève sans lendemain, il nous faut construire une mobilisation qui puisse s’inscrire dans la durée.

Février 2024 : après plusieurs semaines éprouvantes à accueillir chaque semaine plusieurs élèves (jusqu’à 11 !) dans leurs classes en raison du manque de remplaçants, les collègues d’une école du centre-ville grenoblois disent stop. Réunis en Conseil des Maîtres, ils interpellent unanimement (…)

En 2015, nous avons lancé l’ « Appel de Beauchastel contre l’école numérique » [1], pour inciter à se manifester ceux qui refusaient déjà les injonctions à consommer la quincaillerie numérique en milieu scolaire ou à renseigner les logiciels administratifs. Ceux qui nous ont rejoint ont donc pris le risque d’affirmer publiquement leur désobéissance.

Ce texte commençait par un questionnement évoquant chaque moment où il fallait choisir entre vivre un rapport direct avec les élèves et les collègues ou alors suivre des protocoles numériques. Or, si l’on pouvait encore avoir l’illusion du choix au milieu des années 2010, nous craignons qu’aujourd’hui l’institution veuille nous forcer à croire qu’il n’est plus possible d’imaginer un enseignement sans écran, un enseignement réel, c’est-à-dire non virtuel.

SUD Lutte de Classes relaie l’appel de Beauchastel.

En janvier 2024 une réforme importante s’annonçait pour le collège : à la rentrée de septembre les collégiens de 6° et 5° devraient être répartis en trois groupes de niveaux, de quinze élèves pour les plus faibles, pour toutes leurs heures de mathématiques et de français. En 2025 la mesure s’appliquerait également en 4° et en 3°.

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